Douceur de Kashan pour terminer

Avec un peu de retard … (un peu)

Dernière ville avant le retour en France : Kashan

Kashan est la première des grandes oasis qui se trouvent le long de la route entre Qom et Kerman

La coupole marchande de Amin od-Dowleh, avec son grand puits de lumière achevé en 1868

Direction Abyaneh via des petis chemins avec un couple de bordelais rencontré sur place.
Mode on creuse pour sortir la bagnole !

Et du coup séchage des chaussures pour le bordelais !

Une fois au village !
Abyaneh se caractérise par la couleur ocre de ses maisons, liée à la richesse du sol en oxyde ferreux. Les maisons sont en effet construites en briques de terre sechées, assemblées par un mortier d’eau, de paille, et de terre réalisant un pisé. Le village est également connu pour les couleurs vives et bariolées des costumes traditionnels portés par les femmes du village, dont les origines sont très anciennes. Une forteresse Sassanide surplombe le village.

Dernier stop au Jardin de Fin, archétype du jardin persan, qui abrite un pavillon et des bains où, en 1852, fut assassiné sur ordre impérial le chancelier Amir Kabir.

Le faludeh, faloudeh (en retranscription française) ou encore paloudeh est une glace à base de vermicelles de riz, de jus de citron et d’eau de rose, à l’origine préparée dans la région de Chiraz, province du Fars en Iran.

Puis dernier repas en Iran avant 2h de route pour rejoindre l’aéroport de Téhéran

Le khoresht-e-fesendjan (en persan : خورشت فسنجان) ou plus simplement fesendjan (en persan : فسنجان) est un plat des cuisines iranienne. C’est un ragoût épais de couleur brune préparé à partir de jus de grenade et de noix pilées, qui accompagne généralement de la volaille (canard, poulet…)

Merci au peuple Iranien,
“Il n’en est pas beaucoup sur la terre qui en aient produit tant et de si belle qualité.
Il n’en est pas où l’on émaille sa conversation de vers anciens, où l’on en récite si volontiers dans les fêtes et les cérémonies.
Il n’en est pas qui élève aux poètes des mausolées imposants, plus nombreux que ceux des rois et des princes (seuls les imams, les saints, ont droit à des tombes plus somptueuses).
Il aime le faste, la représentation, les tissus somptueux, mais il s’habille volontiers en clochard, vit simplement, peut être riche et habiter une maison en pisé qui ressemble à celle d’un miséreux.”
-Jean Paul ROUX-

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